Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales

Groupe de sociologie politique et morale

Sandrine Revet

Chargée de recherches au CERI, Sciences-Po

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Recherches en cours

  • Anthropologie et sociologie politique des catastrophes et des risques.

  • Analyse des dispositifs transnationaux de prévention des risques et de gestion des catastrophes « naturelles » (élaboration, déploiement, critique).

  • Dynamiques sociales produites par les catastrophes et les situations de risque (qualification, mémorialisation, reconstruction...).

Ouvrages

  • COMPAGNON, O.,  REBOTIER, J., REVET, S., (2009) (dir) Le Venezuela du XXIè siècle. Chávez et la « révolution » démocratique,  Éditions de l'Atelier, Paris. (à paraître mars 2009)

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COMPAGNON, O., REBOTIER, J., REVET, S., (dir) Le Venezuela au-delà du mythe. Chávez, la démocratie, le changement social, Éditions de l'Atelier, Paris, 238p. 2009

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REVET, S., 2007, Anthropologie d'une catastrophe. Les coulées de boue de 1999 au Venezuela. Presses de la Sorbonne Nouvelle, Paris, 366p.

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REVET, S., REBOTIER, J., (dir.), 2006, Le Venezuela aujourd’hui : portrait d’une société au quotidien, Cahiers des Amériques latines, n°53, 2006/3, Editions de l'IHEAL Consulter le document

Articles

2011

  • À paraître 2011, « Une ethnographie des catastrophes est-elle possible ? Coulées de boue et inondations au Venezuela et en France » avec Julien Langumier, Journal des Anthropologues, n°126-127, avril 2011.

  • À paraître (juillet 2011) “Remembering La Tragedia Commemorations of the Floods of 1999 in Venezuela” in Cristina Sanchez Carretero – Peter Jan Margry (eds) Grassroots Memorials: The Politics of Memorializing Traumatic Death, Berghahn Books, Oxford-New York.

2010

  • REVET, S.,  2010 « Alternatives pour une réduction durable des risques de catastrophes » avec JC Gaillard, B. Wisner et al., Human Geography, vol.3, n°1, pp. 66-88

  • REVET, S.,  2010 « Le sens du désastre. Les multiples interprétations d'une catastrophe « naturelle » au Venezuela. » Revue Terrain n°54, mars 2010, pp.10-27.

  • REVET, S.,  2010 “Amérique latine et catastrophes naturelles : Haïti et Chili deux séismes à mettre en perspective » Amérique latine Political Outlook 2010, les Etudes du CERI-OPALC,  n°170/171, pp.9-13

  • REVET, S., « Le sens du désastre. Regards anthropologiques sur une catastrophe « naturelle » (Venezuela, 1999). », Terrain n°54 (à paraître février 2010).

2009

  • REVET, S., 2009 « Vivre dans un monde plus sûr. Catastrophes « naturelles » et sécurité « globale » ». Cultures & Conflits, n°75, hiver 2009 pp.33-51.

  • REVET, S., 2009 « « El origen del desastre. Un análisis antropológico de la historia de los desastres en el Litoral central de Venezuela » Tierra Firme, Caracas, n°107, juil-sept 2009.

  •  REVET, S., 2009 « Les organisations internationales et la gestion des risques et des catastrophes « naturels », Les Etudes du CERI, n°157.

  • REVET, S., 2009 (avec J. Rebotier) "Venezuela : dix ans de gouvernement Chavez" Georges Couffignal (dir.) Amérique latine. La nouvelle donne politique et économique, La documentation française, Mondes émergents, 2009, pp.39-51

  • REVET, S., 2009 « De la vulnérabilité aux vulnérables. Approche critique d'une notion performative », in Becerra, S., et Peltier A. (dir), Risque et environnement : recherches interdisciplinaires sur la vulnérabilité des sociétés, L'Harmattan, Paris, pp.89-99.

  • REVET, S., 2009 « Le politique sur la scène du désastre », in Revue Pratiques n°46. Dossier « L’humanitaire est-il porteur de solidarité ? », juillet 2009, pp.19-21.

  • REVET, S., 2009 « Pour une anthropologie sociale des catastrophes « naturelles » » in Buchet, L. Rigeade, C., Séguy, I., Signoli, M. Vers une anthropologie des catastrophes, Éditions APDCA/INED, Antibes- Paris, pp. 421-442

  • REVET, S., 2009 « Mémoires d'une catastrophe. Récits et héros de La tragedia, Venezuela (1999) » in Anne-Marie Brenot (dir.) "Mémoires d'Amérique latine. Correspondances, journaux intimes et récits de vie (XVII-XXèmes siècles)" , Iberoamericana / Vervuert (Francfort-Madrid), pp.275-289.

2008

  • REVET,S., « L'ethnologue et la catastrophe », Problèmes d'Amérique latine, n°69, 99-120.

2007

  • REVET, S., 2007, « La voix des sinistrés. Mobilisations et moments de politique après la catastrophe de 1999 à Vargas (Venezuela)», Revue Asylon(s), n°2, nov. 2007 « Terrains d'Asiles », Michel, A., (dir.), revue en ligne du réseau scientifique TERRA : Consulter l'article.

2006

  • REVET, S., 2006, « Le risque négocié. Conflits et ajustements autour de la reconstruction de Vargas (Venezuela) », Autrepart, n° 37,163-181.

2005

  • ALTEZ, R., REVET, S., 2005, « Contar los muertos para contar la muerte: Discusión en torno al número de fallecidos en la tragedia de 1999 en el estado Vargas », Altez, R., Revista Geográfica Venezolana, Universidad de Los Andes, Mérida, n° spécial,21-43.

2004

  • REVET, S., 2004, « ¿Quien soy ? ¿quienes somos ? entre categorización y estigma ¿Cómo gestionan sus identidades los venezolanos damnificados ? », Revista Venezolana de Economía y Ciencias Sociales, UCV-Caracas, n°1, 39-57.

2002

  • REVET, S., 2002, « Qui suis-je? Qui sommes-nous? Entre catégorisation et stigmate. Comment les damnificados vénézuéliens négocient-ils leurs appartenances? », Cahiers des Amériques latines, n°40,  Paris, 159-176.

  • REVET, S., 2002, « La pyramide mise à mal : quelle place pour les réseaux? Stratégies d’acteurs au Chili entre dictature et transition », Revue Interdisciplinaire d’Etudes Juridiques, n°49, Bruxelles, 211-231.



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Les annonces

  • Les travailleurs intellectuels à l'épreuve des transformations de l'emploi et du capitalisme. Nouvelles figures, nouvelles classes ? Parmi les tendances caractéristiques du capitalisme contemporain, les sciences sociales mettent souvent en avant d’une part les transformations de la relation salariale vers davantage de flexibilité, d’intermittence et d’incertitude quant à ses frontières et ses statuts et, d’autre part, la montée en puissance d’une production immatérielle ou cognitive et d’un travail plus « créatif ». L'objectif de cette journée d'études est d’interroger les travaux théoriques ou empiriques qui voient dans ces deux tendances le fondement d’une recomposition des classes sociales, en particulier à travers l’émergence de nouvelles géométries sociales centrées autour de la figure d’un travailleur intellectuel précaire.